Voici deux films à l'opposé l'un de l'autre. Le premier, américain, du réalisateur Wolfgang Petersen, le second, français, de la réalisatrice Valérie Guignabodet. À ce jour, parmi les spectateurs ayant exprimé leur avis sur le site Cinébel, 75% ont donné un avis favorable sur « Mariages » et 66% un avis favorable sur « Troy ». Nous avons beaucoup aimé « Troy » et pas du tout « Mariages ». À chacun ses goûts. « Mariages » décrit l'époque actuelle où un mariage sur trois se termine en catastrophe, où les hommes manquent de maturité, de continuité, d'amour véritable et où les femmes sont dominées par des instincts de bas étage qui les rendent esclaves de l'instant présent sans référence au passé et sans préparation à l'avenir. Les commentaires en disent long « C'est à être dégoûtée d'aimer » (Toutoune), « « Bof, un film sans grand intérêt » (Valjean1er), « cette pantalonnade » (MTIM), « on rit plutôt discrètement sous cape tant cela se rapproche (malheureusement) de la vérité » (Francesca), « un très bon moment de cinéma » (Vincent Van Breetwaeter), « ce film ne m'apparaît pas du tout comme une charge contre le mariage, mais bien plus comme un plaidoyer pour l'amour et la liberté » (Michel), « cela ne motive pas du tout pour se marier » (Benjamin), « bon film, mais j'en ressors avec l'idée que le mariage est dépassé » (JC), « on rit beaucoup » (Isa), « très agréable petite comédie, vivement conseillée, même si vous êtes un vieux croûton » (Logos), « superbe prestation d'ensemble » (Axis), « J'ai vraiment aimé toutes ces petites vérités que l'on garde d'habitude pour soi » (béné clerdent). Nous nous excusons d'avoir corrigé une vingtaine de fautes d'orthographe et de grammaire ! Quant à « Troy », qui raconte la guerre de Troie dont l'Iliade du divin Homère relate la querelle d'Agamemnon et d'Achille. Comme le récit homérique, le film exalte « l'énergie lucide et sans illusion de l'homme aux prises avec sa tragique destinée, sans autres secours réels et constants que ceux qu'il trouve en lui-même ». Brad Pitt, qui, voici une décennie, devait faire fantasmer les minettes, ici, dans le rôle d'Achille et dans la quarantaine, doit faire fantasmer leurs mères ! Peter O'Toole a moins bien vieilli que d'autres mais est crédible et même touchant dans le rôle du roi Priam. Les autres grands, Patrocle, Agamemnon, Hector, Pâris, Ménélas et Nestor, sans oublier ces dames : Andromaque, Briséis, et Hélène, sont bien interprétés. La musique est belle, les images sublimes. Du grand cinéma pour gens de goût et amateurs de culture réelle. Il y a trois mille ans et presque deux siècles, les sentiments d'honneur et de fidélité étaient bien plus élevés qu'aujourd'hui! Depuis le début du XXème siècle, l'on n'imagine plus, hélas, un Achille rendant le corps d'Hector à Priam... autres temps, autres moeurs !

mis a part orlando bloom qui doit absolument arreter le cinema, je me suis eclaté! du cinema d'action genre peplum bien reussi je ne dis pas que niveau réalisme c'est parfait, mais on s'en fout, on s'eclate bien pdt 2h30 et c qd meme le but au ciné

Quasi-fidèle à la mythologie. Bien filmé, sans artifices, bon choix d'acteurs. Je viens de lire la critique de quelqu'un qui reprochait le choix d'un O. Bloom pleurnichard, Ridicule ... Paris était un pleurnichard et Bloom le joue comme tel. Merci donc à Petersen d'avoir respecté le fil de la vraie histoire. On évite pour une fois une fin moraliste avec le drapeau américain en fond.

trop...trop exagere...et une bonne dose de déjà vu...brad saute a la matrix, le debarquement version soladat Ryan, combat et arc a fleche version seigneur des anneaux...et je suis sur qu'ils ont envisage un dinosaure a la place du cheval. De plus on devine l'issue de toute les batailles...je mettrai 2 points de plus pour les deux jolies princesses (brad en jupette cuir c'est pas mon truc)...

J'ai un trou de mémoire veuillez m'excuser, mais je ne savais pas que la guerre de Troie avait duré 15 jours, que Achille était dans le cheval. Enfin mis à part des infidélités ce film reste un divertissement sans fond, sans caractères. On le retiendra que pour son côté années 50, et pour le merveilleux jeu d'acteur que nous a offert Orlando Bloom perdu sans sa moumoute blonde mais toujours avec arc (heureusement car c'est bien la seule chose convaincante qu'il a su faire, tirer à l'arc).