The Dark Knight Rises
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genres:
- Action
- Crime
- Thriller
Année de production: 2012
Date de sortie:
25/07/2012
Durée: 2h45
Synopsis :
Huit ans après que Batman ait endossé la responsabilité des crimes de Double-Face, un nouveau terroriste du nom de Bane apparaît, et plonge Gotham City dans le chaos. Le chevalier noir va devoir refaire surface, et protéger une ville qui le considère comme un paria.
Actualités du film The Dark Knight Rises
Les mots-clés de "The Dark Knight Rises", un film aux enjeux particuliers
"The Dark Knight Rises" en 8 mots-clés
Avis des internautes du film The Dark Knight Rises
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Publié le 29 août 2012
Extraordinaire scène de "détournement-destruction" d'avion...puis peu d'originalité. Bizarrement la trilogie se mord la queue avec par exemple le retour par flash-back de Raz-al-Ghul. Bane est un méchant somme toute décevant, mini-Hulk mâtiné de Darth Vader...bref une imagerie un peu déjà vue. La psychologie des personnages, le jeu toujours remarquable de Christian Bale et la virtuosité de Nolan sauvent malgré tout l'ensemble et les 2h44 passent rapidement.
Publié le 24 août 2012
vraiment pas le meilleur de la série: long, pas drôle et sentiment de "déjà vu" au niveau du scenario.
Publié le 23 août 2012
Une démonstration de force, voila à quoi peut se résumer le dernier Nolan. Après le très ambitieux « inception » ce n’est pas une surprise. Ce qui est gênant c’est qu’il prend en otage tous ses personnages pour participer à ce braquage à main armée. Ainsi ils rivalisent tous d’arrogance et de cynisme pour les méchants ou de sentimentalisme niais pour les gentils (mention spéciale pour Michael Caine et ses pleurnicheries abominables). Tous ne cesseront de s’apitoyer sur eux-mêmes pendant les 2h40 du film! Même Bane se met à chialer à la fin du film... On n’est pas noyé dans un déluge d’action comme il se doit, Nolan montre très vite ses limites dans ce domaine, mais dans une démonstration de force verbale qui n’a finalement qu’un seul but, mettre KO son spectateur. Et pourquoi donc? Peut-être pour éviter que celui-ci ne se réveille et ne se rende compte du ridicule qui menace le film avec ses pathétiques velléités de tragédie grecque. On sait que la force de Nolan est d’entretenir ses propres mythes, notamment à grand coup de flash back (car Nolan ne se refuse jamais aucun effet), mais tout cela sent trop la fabrique. Ces faiblesses ne se voient pas trop car elles sont emballées dans un ensemble grandiloquent (ce cache misère inhérent à tous ces blockbusters qui ne veulent plus assumer leur futilité). Mais il y a quelques détails qui ne trompent pas comme ces dialogues qui font passer la complexité pour de l’intelligence, tout simplement puants d’orgueil. Cette grosse machinerie ressemble furieusement à l’ultime film, celui qui aura usé de tout les effets et stratagèmes pour arriver à ses fins et à la fin du cinéma par la-même. C’est très dommage car certaines scènes sont franchement stimulantes, Bane par exemple étant une copie de Humungus plutôt réussie. Mais au final on a le sentiment de se vautrer dans une certaine facilité que l’on pourrait nommer pathos et qui mène immanquablement à une surcharge pondérale.
Publié le 20 août 2012
Perso, un peu déçu pour ce dernier volet, mais très légèrement car c'est quand même une belle trilogie (pour un univers de DC COMIC)
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VictorB