Source Code
Réalisateur:
Origines:
- États-Unis
- France
Genres:
- Drame
- Science-fiction
Année de production: 2011
Date de sortie:
20/04/2011
Durée: 1h33
Synopsis :
Un soldat fait un voyage dans le temps hors du commun. Il se retrouve passager d'un train inconnu à devoir revivre sans cesse, comme une journée sans fin, un attentat visant ce convoi. Il décide de mener l'enquête pour découvrir le ou les responsables. Cela lui permettra-t-il de s'échapper de ce cercle vicieux dans le temps ?
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7.5/10 Cote de du film Source Code
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7.5/10 Cote de du film Source Code
Avis des internautes du film Source Code
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Publié le 31 mai 2011
Film peu convaincant qui donne une impression de déjà qui s'installe de en au cours du film. A part le personnage joué par Jake Gylhenhaal, il y a le néant, ou presque. S'il y a de bons côtés, l'ensemble reste banal et trop pévisible.
Publié le 30 mai 2011
"Source code" est d'abord un scénario exceptionnel, très bien mis en image par le jeune Duncan Jones, visiblement stimulé par le concept des conflits de personnalité dans le temps et l'espace. La photographie est très bonne à certains moments, avec notamment un générique impressionnant sur fond d'images de Chicago. Jake Gyllenhaal est excellent, Farmiga intéressante, Monaghan totalement quelconque. La bande sonore est dynamique. Cependant, l'essentiel demeure le script, qui booste tout ce qu'un réalisateur doué peut faire avec un bon concept, même lorsque celui-ci se borne largement à deux huis-clos. A ce titre, ceci constitue une très belle leçon de cinéma.
Publié le 20 mai 2011
Agréable thriller, en effet réminiscent de l'excellent "groundhog day" (un jour sans fin), et un peu de "inception". A conseiller.
Publié le 18 mai 2011
Source Code est une variation intéressante sur le voyage dans le temps via la mémoire immédiate des morts (un principe de répétition qui n'a rien à voir avec Un Jour Sans Fin à part sa mécanique) qui stigmatise -s'il en était encore besoin- l'obsession hollywoodienne retrouvée pour les films catastrophe d'anticipation avec menace terroriste abstraite. Joli retournement : il s'agit ici, non pas d'un Islamiste dinguo, mais d'un hyper-patriote nihiliste. Dans un scénario touffu où l'on nous refourgue de l'info toutes les trois secondes (série B en mode Nolan), le systématisme cyclique des allers-retours passé/présent/futur et le minimalisme décoratif de la mise-en-scène de Jones (Moon) prennent la vitesse de la rêverie sur la mémoire (un peu new-age) à la Je T'Aime Je T'Aime (Alain Resnais) tandis que Gyllenhaal, souris de laboratoire larguée au milieu de scènes dont il parait ne rien comprendre avec le corps gesticulant d'un superhéros en puissance fait merveille... de son égarement.
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