Vinyan

Origine:
  • Belgique
Genres:
  • Drame
  • Thriller
  • Fantastique
Année de production: 2008
Date de sortie: 15/10/2008
Durée: 1h36
À partir de 16 ans
Synopsis : Incapables d’accepter la perte de leur fils dans le Tsunami de 2004, Jeanne et Paul sont restés vivre en Thaïlande. S’accrochant désespérément au fait que son corps n’a pas été retrouvé, Jeanne s’est persuadée que son enfant a été kidnappé, dans le chaos qui suivit la catastrophe... qu’il est encore vivant. Paul est sceptique, mais ne peut pas briser le dernier espoir de sa femme. Le couple va alors embarquer dans une quête qui les plongera au fin fond de la jungle tropicale, au sein d’un royaume surnaturel où les morts ne sont jamais vraiment morts...
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    5.0/10 4 votes - 4 critiques
  • 7.5/10  Cote de lalibre.be du film Vinyan

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Posters du film Vinyan

Photos du film Vinyan

Avis des internautes du film Vinyan

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  • 1
Publié le 2 décembre 2008
En 2005, le réalisateur belge Fabrice Du Welz avait épaté tout son petit monde avec Calvaire, thriller horrifique à glacer le sang. Quelques années auparavant, il avait également réalisé un court métrage Quand on est amoureux, c'est merveilleux (1999). Le deuxième long métrage de Fabrice Du Welz était très attendu. Calvaire avait tellement marqué les esprits et les différents festivals où il avait été projeté que l'attente était énorme. Trois ans plus tard, le jeune réalisateur est de retour avec un casting relevé dans des décors bien différents des fagnes ardennaises de Calvaire... mais est-ce que Vinyan est bien le film de la confirmation pour le Belge ? Même si Fabrice Du Welz, aidé par le chef opérateur Benoît Debie, nous offre une approche visuelle intéressante, Vinyan n'accroche jamais ses spectateurs. Exceptée Emmanuelle Béart dans son trip, Rufus Sewell développe l'expression d'un zombie tandis que Petch Osathanugrah est tout simplement un mauvais choix pour le rôle du nébuleux Thaksin Gao. Malheureusement, les déceptions ne s'arrêtent pas là. Le réalisateur belge nous emmène dans une histoire ennuyante et tellement surréaliste, qu'il est impossible d'adhérer au manque ressenti par le couple à la recherche de son enfant. Résultat, les intentions du réalisateur ne transparaissent jamais à l'écran. Malgré une Emmanuelle Béart époustouflante et une maîtrise visuelle parfaite, il faut espérer que Vinyan n'est qu'un faux pas dans la carrière prometteuse de Fabrice Du Welz. Á Retenir : des enfants très jouettes, un voyage aux suppléments coûteux, un village peu accueillant, un tsunami aux nombreuses séquelles et des maisons très inflammables.

Publié le 23 octobre 2008
Et dire que c'est le formidable réalisateur du non moins formidable "Calvaire" qui a réalisé "cette chose" d'un ennui profond,dans lequel on a vraiment du mal à s'indentifier aux personnages principaux(qui ont quand même perdu leur gosse)et dans lequel tout ou presque tourne en rond(et c'est pas un plan gore de 5 sec qui va changer quoi que se soit à cela). Autant "Calvaire" etait un film atypique,qui "rentrait dedans" et qui avait,pardonnez moi l'expression,des couilles,ici,aucun risque(à part celui d'avoir certainement tourné dans des conditions extrèmes,mais ca ne suffit pas pour faire un bon film),tout est linéaire et sur le même faux rythme(on crois plusieurs fois qu'il va se passer quelque chose,mais non). Je vais arrêter là et mettre ce second long métrage,d'un de nos plus prometteurs rélisateurs,entre parenthèses et attendre malgré tout impatiemment son prochain film.

Publié le 21 octobre 2008
Je suppose que le fait d'avoir entendu -grosso modo- comment se terminait le film, avant de l'avoir vu, n'a pas aidé. Mais enfin... Même sans cela, je suis certain que j'aurais quand même eu cette impression pénible, du début à la fin, d'être "mené en bateau". Sans doute, les acteurs sont formidables; de grands "pros". Sans doute, ils sont très bien dirigés -pas toujours, mais presque-. Sans doute, la caméra est excellemment tenue. Spécialement au début du film, restituant l'ambiance des rues de Bangkok de manière assez... formidable, sans parler de réalisme. Il reste une histoire à laquelle on ne croit pas une seconde, et qui vire finalement aux poncifs de la série "Z" la plus kitch. Quelques soient les symboliques -oh, si lourdes- que le réalisateur y a projeté.

Publié le 15 octobre 2008
Le travail de l'image et du son nous invite à un somptueux voyage sensuel. Moiteurs, terreurs, langueurs. Un superbe voyage au bout de la métaphore.
  • 1

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