Brüno
Réalisateur:
Synopsis :
Les aventures du personnage de Bruno, un homosexuel autrichien, roi de la mode créé par Sacha Baron Cohen pour son émission de télévision Da Ali G Show...
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5.0/10 Cote de du film Brüno
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2.5/10 Cote de du film Brüno
Avis des internautes du film Brüno
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Publié le 31 juillet 2009
pas mal, mais pas aussi bon que Borat. Il n'y a pas d'histoire dans le film.
Publié le 27 juillet 2009
Un excellent film. Et pour les esprits chagrins qui considèrent réellement ce film comme homophobe, qu'ils reconsidèrent la fin du film: y a pas meilleur fin que pour recadrer le tout. Excellentissime!
Publié le 27 juillet 2009
Brüno : Inconscience ou science d'un « con » ?
A l'instar d'une certaine boisson médiatique, ce dernier Sacha Baron Cohen secoue véritablement la pulpe du fond ! Une transe satirique où l'on se sent parfois complice d'une provocation poussée à l'extrême...
On prétend que la reine d'Angleterre, elle-même, était friande des « Da Ali G Show » qui ont sévi sur le petit écran britannique début des années 2000. Un héritage zygomatique où les protagonistes fantasques et assumés de « sir » Cohen (Ali G, Borat, Brüno), ont relégué, il est vrai, les Monty python et autres Benny Hill ou Mister Bean, au rang de bouffons pour bambins.
Ce qui secoue véritablement la pulpe du fond, pour plagier l'accroche du début, en « subissant » l'adaptation sur grand écran de Brüno, c'est de voir un personnage de fiction venir se greffer sans complaisance sur des rushes documentaires. Cautionner, ticket à l'appui, les errances dilettantes et résolument provocantes d'un homosexuel en proie à la célébrité, perdu entre journalisme d'investigation et télé-réalité. Le caractère artificiellement agencé de « certaines » de ses entrevues, n'édulcore en rien le « droit » de quitter la salle sans justificatif, tant cette fresque iconoclaste génère par instants un tel sentiment de honte. L'insupportable caricature éculée de la folle qui batifole, en atteste !
« Michael Youn au meilleur de son être passerait pour un enfant de chœur, face au culot à la lisière de l'inacceptable de ce dissident de la pellicule... »
Mais on reste !
On reste parce que par le biais de ce pamphlet humoristique, il « ose » néanmoins confronter l'ostensible préférence sexuelle d'un « inverti », à ce que la société tolère de plus rigide et péremptoire. Le dogmatisme puritain et sectaire d'une frange américaine, la fatuité du monde de la mode et du « people », le zèle belliqueux et patibulaire des « pas gentils » qu'ils soient en djellaba ou en kaki d'ici !
Égratigner le conformisme cinématographique, rayer le vernis des bonnes consciences, deux raisons suffisantes de rester vissé sur son siège. L'homosexualité s'imagine, se suppose... mais ne s'apprivoise peut-être pas encore tout à fait au quotidien !
La morale de cette histoire sans doute ?
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Marylyn