J'ai vraiment été déçue... D'habitude, Steve Carell me fait hurler de rire mais là... c'est complètement raté. L'humour est très bas & le scénario bof bof... Enfin, je vais dire que c'est un film américain très basique & qu'il ne se démarque pas vraiment mais que cela se laisse tout de même regarder.

vraiment très très nul. Je m'attendais à un film con, mais c'est encore pire. Le Max la Menace d'origine était débile mais tout de même plus rigolo. Je déconseille vivement, même pour des enfants.

Il y a de l'humour et de l'action. C'est très inégal mais plaisant. La question que l'on se pose : le téléphone dans la semelle d'une chaussure est-il l'ancêtre du GSM(Gadget dans la Semelle de Max ) ?

« Voici venir enfin le temps des scénaristes… en vérité, je vous le dis le destin du cinéma est au fond des encriers. » Henri Jeanson, chantre de la nouvelle vague (réalisateur-auteur) et père de cette célèbre maxime doit se retourner dans sa tombe, lorsqu’il observe du haut de sa céleste demeure, la piètre originalité du cinéma d’outre-Atlantique actuel. Que reste-t-il de nos « scénars », que reste-t-il de ces beaux jours ! Et une adaptation et une de plus ! Cette fois-ci, elle touche une autre icône de ces séries cultes qui ont fait la joie des grands enfants que nous sommes toujours. « Max la menace » alias Don Adams, créé à l’origine par Mel Brooks, un agent secret dont l’incompétence était la véritable ligne éditoriale de cette parenthèse amusante de vingt-six minutes. Un physique quelconque pour une gueule indéfinissable, sans oublier cette voix doublée en français, une véritable madeleine de Proust insolée à jamais au plus profond de nos entrailles. Que dire de la version 2008 (Max la menace) dont le rôle majeur (Max) est repris par Steve Carell : un Mister Bean bavard tout à fait crédible dans son rôle de benêt de service.. Soulignons que pour une fois le film vaut la bande annonce. Seuls les aficionados de la série initiale auront les codes pour se hasarder à une comparaison. Un parallèle qui n’a pas vraiment lieu d’être tant cet opus contemporain est plus un assemblage de rushes piqués ici et là : un géant tout droit sorti de James Bond ou un tango énergique volé à True lies par exemple, qu’un atavisme voulu et revendiqué. Donc, si le désir conscient de faire renaitre des relents nostalgiques chez certains ou de susciter l’envie chez d’autres est fluctuant, vous le trouverez très prochainement en DVD entre les ustensiles pour cuisine et dentifrices fluorés.