J'ai toujours rêvé d'être un gangster
Réalisateur:
Origine:
- France
Genre:
- Comédie dramatique
Année de production: 2007
Date de sortie:
26/03/2008
Durée: 1h48
Synopsis :
L'histoire d'un braqueur sans arme dont la victime est elle-même une braqueuse, armée. Deux kidnappeurs amateurs qui enlèvent une adolescente suicidaire. Deux chanteurs qui parlent d'un tube volé. Cinq septuagénaires qui se retrouvent pour un dernier coup...
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5.0/10 Cote de du film J'ai toujours rêvé d'être un gangster
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7.5/10 Cote de du film J'ai toujours rêvé d'être un gangster
Avis des internautes du film J'ai toujours rêvé d'être un gangster
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Publié le 15 avril 2008
D'abord on voit l'affiche d'un film. Et celle-ci, à la fois glamour, romantique et sexy, n'a aucun lien avec le film, sachez-le. Ensuite que dire ? Bravo Samuel, certainement, pour avoir tenté quelquechose de diférent.
Quoique... différent du cinéma français habituel... Car il y a très (très très) largement du Tarantino dans l'air. Destins croisés qui se recoupent à la fin, dialogues absurdes et inutiles mais tellement savoureux, lenteur générale, et un je-ne-sais-quoi d'une "Amérique profonde" française à travers une Cafétaria esseulée le long d'une route nationale et une misère populaire dans laquelle sont plongés les personnages touchants mais pathétiques : Quentin serait chez lui !
C'est sûr, on a déjà vu ça, mais peu dans un film français.
Maintenant, il faut aussi juger chacune des 4 histoires séparement. Parce que malheureusement, elles sont inégales, selon les goûts. Et selon les miens, la troisième avec Arno et Bashung est longuette et n'apporte pas grand chose. La dernière histoire ne nous séduit que par le jeu des acteurs cultissimes qui la peuplent (Terzieff, Rochefort. Kalfon, Venantini et Dumas - Ils méritaient un film entier - meilleur - à eux seuls). On se souvient parfois d'un "tontons flingueurs" mais la magie ne prend pas.
L'histoire la plus émouvante est celle de deux kidnapeurs amateurs qui enlève une jeunne "fille à papa" gothique et sucidaire. Adorable. Très comique. Super touchant.
Enfin, la première histoire présente une charmante Anna Mouglais et un excellent Edourad Bear qui laissait présager un meilleur film. Si vous avez remis mon désordre dans l'ordre, vous aurez compris que plus le film avance, moins il est bon. Et ça malheureusement, ça pardonne peu.
Voilà. En gros, j'ai envie de dire "le coup de Maitre juste raté", "belle et respectable tentative" ou "J'ai vraiment bien aimé mais bon c'était pas génial mais quand même c'était original mais enfin, pas terrible, terrible". J'ai envie de mettre 7 mais ça les mérite pas. J'ai envie de mettre 5 mais c'est sévère. Et pour que vous compreniez mieux ce charrabia qui n'appartient qu'à moi, je mets 6
Publié le 14 avril 2008
je me suis ennuyée dans ce film,je ne comprends pas les critiques positives! Bon, chacun ses goûts, pour moi c'était long, lent et le meilleur était dans la bande-annonce. A part, la séquence avec Bashung et surtout Arno, celle-là était vraiment amusante, le reste, je n'ai pas aimé du tout. J'en profite pour dire ce que je pense de ces films qui dévoilent presque tout et qui vous montre "le meilleur" (procédé ultra commercial), je trouve cela énervant au possible et on ne m'y reprendra plus.
Publié le 4 avril 2008
Un film à sketch en noir et blanc dont une scène avec deux star du rock en train de boire un café... Vous croyiez que cela s'inspire de "Coffee And Cigarettes" de Jim Jarmush ? Impossible de passer à côté de la référence évidemment, et difficile d'en vouloir à ce petit film. Il y a des erreurs, sans aucun doute, comme ces longs plans descriptifs en fin de scène qui ici ont tendance à casser complètement le rythme, comme le parti prix esthétique qui est superbe par moment, foireux à d'autres... Tout ça donne quelques longueurs tout au long du film qui n'est d'ailleurs pas très long... Mais pourtant, on rigole de bon coeur aux pitreries d'Edouard Baer et au bons mots qui ne font pas trop coup de poing dans le visage (contrairement à Juno, film excellent, mais où le naturel manquait par moment). On s'attendrit aussi devant ces deux kidnappeurs débutants anti-violent. Et même si la scène entre Arno et Alain Bashung est loin d'être la plus réussie, on appréciera cette complicité des deux artistes qui fonctionne sans doute mieux qu'entre Tom Waits et Iggy Pop de Jarmush. Bref, clairement pas un chef-d'oeuvre, mais cela n'en a pas l'amibtion. Entre tendresse et pitrerie, profitez du grand écran pour aller regarder ce bon divertissement, le format très carré de l'image s'y adapte nettement mieux !
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Chamouth