Un film pas banal sur un thème pas banal: le pardon. Pas un sujet à la mode à l'époque des relations de très courtes durées. Un beau thème, de beaux paysages, de très bons acteurs qui font un beau film.

Film très banal : une histoire dont on anticipe les scènes suivantes comme dans un mauvais roman policier et une histoire aussi banale. Bien sûr les images sont belles mais ça ne suffit pas à faire un bon film. Naomi Watts sauve, en partie, l’ensemble mais je me demande quand même ce qui de son charme physique ou de son jeu d’acteur m’a charmé !

tres beaux film , decor naturel vraiment superbe , belle histoire, j'ai dejas vu plus lent comme film,mais on accroche vite a l'histoire de ce couple je ne suis pas objectif , j'adore le cinema

Même si l'histoire et la réalisation de cette histoire d'amour dramatique sont très classiques, il n'en reste pas moins que le jeu des deux acteurs suffit à emporter l'adhésion du coeur et de l'esprit. Paysage, ambiance, atmosphère excellement bien rendus. L'évolution des rapports entre N.Watts et E.Nortorn prend les tripes et rend ce film terriblement touchant. A ne pas manquer! *** La publicité, au ciné ou ailleurs, c'est vendre vendre vendre car "tout a un prix", une erreur et un mépris constant***

The Painted Veil est un film simple et juste, un de ces films qu'on oublie pas tant il nous as touché, car il parle de l'homme et de la femme avec une sensibilité et une authenticité rare. C'est un film qui parle de la relation entre une femme et un homme différents mais qui sauront se retrouver, ou plutôt se trouver dans des conditions difficiles, sous fond d'épidémie de choléra. Les images, la photographie de ce film sont à couper le souffle. La reproduction de l'époque est admirable. Les costumes sont magnifiques (Naomi Watts est ravissante). La performance des acteurs (Edward Norton dans un rôle d'homme trompé, froid mais courageux a un charme fou ; Naomi Watts dans un rôle de femme douce, sensible mais déçue par sa vie est élégante et charmante) rend ce film poignant. Ce film parle de la communication ou plutôt de l'absence de communication entre deux personnes, les silences qui sont lourds, les non-dits pesants. Le 'slogan' du film "Sometimes the greatest journey is the distance between two people" est d'une justesse criante.