Astérix aux Jeux Olympiques
Réalisateurs:
Synopsis :
Asterix et Obelix, dans de nouvelles aventures où ils devront remporter les Jeux Olympiques, permettre au jeune Gaulois, Alafolix, d’épouser la Princesse Irina et lutter contre le terrible Brutus, prêt à tous les stratagèmes, pour lui aussi gagner les Jeux Olympiques et se débarrasser de son père : Jules César.
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2.5/10 Cote de
du film Astérix aux Jeux Olympiques
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5.0/10 Cote de
du film Astérix aux Jeux Olympiques
Avis des internautes du film Astérix aux Jeux Olympiques
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Publié le 28 février 2008
Personnelement j'ai beaucoup rigolé, même si Poelevoorde en fait trop.
Le film pour moi vaut surtout par la prestation d'Alain Delon, qui se moque ici de sa légende/réputation avec briance, ses dialogues sont un régal et les références cinématographiques qu'ils contiennent sont un must pour tous cinéphile qui se respecte.
C'est à mes yeux la meilleure comédie de l'année avec Juno.
Publié le 25 février 2008
non, franchement je pense que malheureusement ce film est victime de trop de publicité et que tout le monde pense que l'on doit en dire du mal , moi j'ai été le voir à contre coeur avec mes enfants et bien franchement , il n'est pas si mal que cela , il suffit jute e prendre pour ce qu'il est :un film de divertissement , j'ai juste trouvé la fin un peu longue mais a part cela , j'ai passé un bon moment
Publié le 22 février 2008
Un bon Poelvoorde mais qui ne peut pas sauver ce film à lui tout seul. A trop vouloir faire du Chabat, les deux réalisateurs se perdent dans un humour lourd et sans interêt. Le premier navet de 2008.
Publié le 20 février 2008
2/10: un point pour notre pauvre Benoît qui fait tout ce qu'il peut et le fait au mieux... Un point pour les effets spéciaux. Mais zéro pour le reste. Pourtant partie sans a priori, plutôt bon public des comédies françaises même qd elles sont démontées par la critique, là, non, vraiment n'y allez pas. Une succession de sketches, qd ils sont bons... bah... Mais là, rien ne tient. Tout est bling-bling. Tout devient bling bling en fait, mais ça c'est une autre histoire.
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Djay