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Découvrez Sun Screens, la programmation estivale du Palace, du 3 juillet au 13 août !
Publié le 25 juin 2019 dans Actu ciné
En parallèle de la programmation courante, le Palace proposera une série de titres inédits tout au long de l'été.
Les premiers, à l'esthétique affutée, flirtent avec le cinéma de genre et vous plongeront dans une chaleur estivale qui semble endolorir les adolescents d'une banlieue brésilienne où sévit un serial killer (Mate me por favor d'Anita Rocha da Silveira) ou vous confronteront au comportement inquiétant de jeunes élèves surdoués qui semblent littéralement hypnotiser le remplaçant de leur professeur (L'Heure de la sortie de Sébastien Marnier). Deux films étourdissants qui étrangement se répondent.
Non moins inquiétant, God Exists, Her Name is Petrunya de Teona Strugar Mitevska est une comédie noire ponctuée de séquences savoureuses qui se dessine comme le portrait d'une jeune trentenaire ordinaire et d'une société patriarcale dépassée. Un film piquant et acerbe, féministe et humain. Autre portrait, celui sensible de Leo, un jeune prostitué en quête d'amour et de lui-même, à qui donne vie Félix Maritaud qui semble saisi, à vif et à nu, par Camille Vidal-Naquet (Sauvage).
Sun Screens offrira également la possibilité de (re)découvrir de grands classiques (en copie restaurée 4K) dans les meilleures conditions qui soient. Vous y redécouvrezrez le trio formé par Marilyn Monroe, Tony Curtis et Jack Lemmon sous la direction de Billy Wilder dans Some like it hot (1959). Souvent considéré comme la comédie de référence, le film bouscula au crépuscule des années 1950 la moralité et bien des convenances. Une bienséance qui sera également mise à mal par Joseph L. Mankiewicz dans Suddenly, Last Summer (1959), l'adaptation de la pièce en un acte de Tennessee Williams, où se confrontent Katharine Hepburn et Elizabeth Tailor. Enfin, avant de proposer un envol pour la planète Solaris sous le regard d'Andrei Tarkovski (Solaris, 1972), les codes voleront en éclat au coeur de Easy Rider de Dennis Hopper (1969).
En parallèle de cette invitation à la découverte, le Palace présentera le dernier documentaire d'Agnès Varda, Varda par Agnès (2019), à travers lequel la cinéaste voyage au gré de sa filmographie, se raconte et, ce faisant, nous conte aussi une autre histoire du Cinéma. L'invitation était trop belle pour ne pas ressortir trois de ses long-métrages de fiction. Le cinéma projettera les copies restaurées de Cléo de 5 à 7 (1961), L'Une chante, l'autre pas (1977) et le trop méconnu Le Bonheur (1965). Trois titres dont la modernité et le caractère intemporel s'imposeront à tou.te.s.
Non moins inquiétant, God Exists, Her Name is Petrunya de Teona Strugar Mitevska est une comédie noire ponctuée de séquences savoureuses qui se dessine comme le portrait d'une jeune trentenaire ordinaire et d'une société patriarcale dépassée. Un film piquant et acerbe, féministe et humain. Autre portrait, celui sensible de Leo, un jeune prostitué en quête d'amour et de lui-même, à qui donne vie Félix Maritaud qui semble saisi, à vif et à nu, par Camille Vidal-Naquet (Sauvage).
Sun Screens offrira également la possibilité de (re)découvrir de grands classiques (en copie restaurée 4K) dans les meilleures conditions qui soient. Vous y redécouvrezrez le trio formé par Marilyn Monroe, Tony Curtis et Jack Lemmon sous la direction de Billy Wilder dans Some like it hot (1959). Souvent considéré comme la comédie de référence, le film bouscula au crépuscule des années 1950 la moralité et bien des convenances. Une bienséance qui sera également mise à mal par Joseph L. Mankiewicz dans Suddenly, Last Summer (1959), l'adaptation de la pièce en un acte de Tennessee Williams, où se confrontent Katharine Hepburn et Elizabeth Tailor. Enfin, avant de proposer un envol pour la planète Solaris sous le regard d'Andrei Tarkovski (Solaris, 1972), les codes voleront en éclat au coeur de Easy Rider de Dennis Hopper (1969).
En parallèle de cette invitation à la découverte, le Palace présentera le dernier documentaire d'Agnès Varda, Varda par Agnès (2019), à travers lequel la cinéaste voyage au gré de sa filmographie, se raconte et, ce faisant, nous conte aussi une autre histoire du Cinéma. L'invitation était trop belle pour ne pas ressortir trois de ses long-métrages de fiction. Le cinéma projettera les copies restaurées de Cléo de 5 à 7 (1961), L'Une chante, l'autre pas (1977) et le trop méconnu Le Bonheur (1965). Trois titres dont la modernité et le caractère intemporel s'imposeront à tou.te.s.
► Le programme complet ainsi que toutes les infos pratiques sont disponibles sur le site du Palace.