Les Amours imaginaires

Origine:
  • Canada
Genres:
  • Drame
  • Romance
Public: À partir de 12 ans
Année de production: 2010
Date de sortie: 06/10/2010
Durée: 1h35
Synopsis : Le film raconte l'histoire de Francis et Marie, deux amis qui s'éprennent de la même personne. Un trio amical malsain naît de cette rencontre, et bientôt chacun interprète de manière obsessionnelle les comportements ambigus et destructeurs de leur bourreau. Les amours imaginaires porte sur la vérité bâtie autour de l'être aimé, et sur l'interprétation compulsive qu'enfante la parole la plus aléatoire, le moindre geste banal. Personne n'ignore la signification d'un amour imaginaire; on en comprend le danger, la douleur, et, avec le recul, l'amère drôlerie.
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    8.1/10 16 votes - 14 critiques
  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film Les Amours imaginaires

  • 5.0/10  Cote de DH.be du film Les Amours imaginaires

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Avis des internautesdu film Les Amours imaginaires

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Publié le 19 septembre 2011
Après avoir vu "J'ai tué ma mère" que j'avais A-DO-RE, j'attendais avec impatience le second film de Xavier Dolan et même si j'ai trouvé qu'il était un peu moins bon, j'ai tout autant accroché ! C'est frais, les images, la musiques sont belles, Dolan est un pro, c'est certain ! A quand le troisième ?

Publié le 13 novembre 2010
J'ai beaucoup aimé ce film qui me rappelle les heures de gloire du cinéma italien. Eh oui! C'est un spectacle cinématographique complet qui tranche avec les productions actuelles. N'hésitez-pas : aller le voir, il vous plaira, il vous envoûtera par ce week-end pluvieux.

Publié le 4 novembre 2010
On craint au début un pur exercice de style. Or, on réalise vite que cette esthétique appuyée sert à illustrer le fantasme glamour dans lequel évoluent nos deux amoureux éperdus. Dolan prend ainsi une distance critique par rapport à ses personnages qu’il ne peut s’empêcher de traiter avec ironie, voir avec cruauté. On reste dans la légèreté du pastiche, loin du formalisme pompeux de certains Wong Kar Wai (le très artificiel « My Blueberry nights » par exemple). Laissant libre cours aux humeurs des personnages, le film s’apparente à un catalogue d’amertumes et de frustration. Si le récit manque de souffle il est habillement équilibré par ces séquences de faux documentaires, versant conscient de ces désillusionnés magnifiques.

Publié le 29 octobre 2010
Décevant après avoir vu "J'ai tué ma mère" qui m'avait emballée, je suis très déçue par ce deuxième film. Très artificiel, beaucoup de longueurs, de lenteurs. Le sujet est pourtant intéressant. Quelques bonnes trouvailles cependant, tels les interviews.

Publié le 22 octobre 2010
Je comprends que certains ne puissent pas aimer mais ce genre de film fait du bien au cinéma et aux spectateurs qui veulent voir aussi autre chose!

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