poilagratter

poilagratter
  • Membre depuis le 20/09/2010
  • Nombre de critiques : 13
Publié le 4 avril 2011
Mais qu'est-il arrivé à Philippe Claudel, cet écrivain de talent au style épuré, dense, traitant au scalpel des sujets difficiles (Les âmes grises, Le rapport de Brodek, La petite fille de Monsieur Li) et qui avait réalisé un premier prometteur? Etait-il sous l'influence d'un cocktail de Prozac et autres médicaments euphorisants pour nous sortir cette niaiserie dégoulinante de bons sentiments qu'on pourrait croire tirée d'un album de la série des "Martine"! Rien ne sonne juste dans ces scènes convenues entre personnages stéréotypés animés d'un optimisme béat. Au panthéon des daubes les plus consternantes commises par des écrivains, il rejoint son triste confrère Eric-Emmanuel Schmitt, une performance que l'on pensait insurmontable. Puisque la cote "0" n'est pas prévue, accordons le minimum syndical de "1" pour la belle musique populaire italienne.

Publié le 21 février 2011
Mêmes si les personnages sont stéréotypés, la sauce prend et on se laisse séduire par cette gentille comédie bien servie par des comédiennes hispaniques très en verve et par un F Lucchini qui, pour une fois, n'en fait pas des tonnes.

Publié le 21 février 2011
Grand amateur de western et des frères Coen, j'astiquais mes lunettes pour ne pas rater une miette de ce nouvel opus unanimement louangé par la critique. Las, la première partie du film est plombée par des dialogues incessants et interminables entre J Bridges et M Damon qui jacassent comme de vieilles pies! Après, le scénario se resserre quelque peu et on profite pleinement du savoir faire du preneur d'images.

Publié le 6 février 2011
Mis à part l'une ou l'autre scènes qui parviennent péniblement à vous arracher l'esquisse d'un sourire, le film est désolant de platitude. Les acteurs belges en font des tonnes et surtout Benoît Poelvoorde qui, comme toujours lorsqu'il n'est pas strictement dirigé, sur-joue à l'envi.

Publié le 8 janvier 2011
Peu de choses à ajouter à l'analyse de "Dodecameron" : d'un ennui kaulôssal!!!

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