pekka

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Publié le 27 février 2012
Spy-thriller US b(o)urné, au scénar' assez vu et revu, mais avec des détails bien amenés et un casting plutôt "upgraded" (D. Washington, of course, mais aussi l'équipe de tueurs et Vargas (?) à sa tête - et quelle tête !... -, B. Gleeson, S. Shepard, etc.). Castagne et cascades au programme, donc. Mais la photographie type pellicule hyper sensible à gros grains et couleurs pixellisées, qui tient trop lieu de style à la mise en scène, peinera les esthètes.

Publié le 8 février 2012
Je n'avais déjà pas digéré le premier, alors...

Publié le 8 février 2012
L'ayant vu en "avant-première" en présence de l'équipe du film, j'ai été frappé d'immobilisme au moment des applaudissements de circonstance... L'actrice principale est bonne, mais ressemble trop à une actrice française dont le nom m'échappe. Les personnages ne sont pas mal campés, et l'ambiance d'un hameau de montagne corse en hiver est bien rendue. Heureusement par ailleurs que le scénario rende assez (?) vite D'Orazio mutique, car il joue faux, même en jouant son propre personnage. Mais le vrai défaut - fatal - du film, c'est qu'on devine son cheminement après 10 minutes. Les suivantes passent alors très très lentement...

Publié le 7 février 2012
Contrairement à d'autres points de vue, j'estime que cette adaptation du premier tome de la trilogie de Stieg Larsson par David Fincher est infiniment plus fidèle, mieux incarnée et davantage stylée que le premier téléfilm suédois ("gonflé" ensuite pour le cinéma). Rooney Mara est vraiment Liesbeth Salander, intellectuellement brillante et radicalement indivi-duelle... Photographie superlative, et sens du montage impressionnant. Un très bon "thriller".

Publié le 7 février 2012
A l'image de l'affiche, rébarbative à force de pose, et théâtrale, 'A Dangerous Method' n'apprendra rien à ceux qui connaissent un peu l'histoire de la psychanalyse, et celle des relations entre Freud et Jung, sinon l'existence de Sabina Spielrein, à l'origine - semble-t-il - d'Eros et Thanatos. L'adaptation de cette pièce de théâtre de Christopher Hampton par Cronenberg, qui y a retrouvé des échos de son oeuvre passée, si elle est somptueuse par la grâce de sa costumière (épouse ou fille de Cronenberg) et de son accessoiriste, n'étreint et n'éblouit que dans la séquence d'ouverture, et dans l'apparition de Vincent Cassel, qui a rarement autant "incarné" un personnage. Pour le reste, à mon sens, une déception académique et superficielle.

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