L'Anglais

Titre original: The Limey
Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 1999
Date de sortie: 05/04/2000
Durée: 1h30
Synopsis : Du moindre voyou aux chefs de la pègre, tout le monde est prévenu: "The Limey" ("l'Anglais" en argot de marin) est en ville et cherche vengeance. L'Angliche, c'est Wilson qui, après neuf années de prison en Angleterre, débarque à Los Angeles pour venger sa fille, morte dans des circonstances suspectes. Il découvre un monde nouveau, dont il ne connait pas les lois. Plongé dans les bas-fonds, il affronte des criminels endurcis, à la recherche d'indices pour reconstituer un puzzle, à partir d'une seule piste: sa fille avait une liaison avec un producteur de disques.
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    9.7/10 7 votes - 7 critiques

Avis des internautesdu film L'Anglais

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Publié le 21 mars 2001
Oh oui...on en redemande des comme ca...Terence Stamp en vieil homme vengeur se promenant dans les rues sur la musique de The Seeker des Whos reste un excellent moment de cinéma...Un jeu d'acteur hors du commun pour un film qui mérite deux fois plus d'être oscarisé que Traffic

Publié le 7 février 2001
Ce film est absolument formidable. Sa diffusion en salle a été trop limitée en Belgique. Une seconde diffusion s'impose! Je cherche à contacter Terence Stamp l'acteur principal de ce film, toutes informations pour entrer en contact avec lui est la bienvenue, merci.

Publié le 7 décembre 2000
superbe film sur la vengeance, la solitude et la mort terence stamp est tout simplement siderant la deconstruction de l'histoire en flashes back et forward laisse toute la fluidité au recit et n'enleve rien au suspense: du grand art

Publié le 17 mai 2000
Génial et en plus tellement réel...

Publié le 5 mai 2000
Bon film de genre pour le fond, dans le style justicier solitaire débarquant dans un milieu qui lui est étranger (ce côté décalé m'évoque d'ailleurs un peu le récent Ghost Dog de Jarmush). Sur la forme, Soderbergh s'inscrit toutefois dans une démarche plus ambitieuse que celle consistant simplement à servir un propos finalement pas très original : son approche des personnages et des situations fait penser à un étrange kaleidoscope évoquant précisément le psychédélisme des années soixante qui, justement,planent comme un spectre sur tous les personnages clés. Malgré les embûches inhérentes à un tel style, le film se suit facilement et le dénouement en est extrêmement émouvant, éloigné de la finale classique du film de genre.

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