Nos enfants nous accuseront

Réalisateur:
Origine:
  • France
Genre:
  • Documentaire
Public: Tout public
Année de production: 2008
Date de sortie: 15/04/2009
Durée: 1h52
Synopsis : Chaque année en Europe 100.000 enfants meurent de maladies causées par l’environnement. 70 % des cancers sont liés à l’environnement dont 30 % à la pollution et 40 % à l’alimentation. Chaque année en France on constate une augmentation de 1,1 % des cancers chez l’enfant. En France l’incidence du cancer a augmenté de 93 % en 25 ans chez l’homme. Dans un petit village français au cœur des Cévennes, le maire a décidé de faire face et de réagir en faisant passer la cantine scolaire en bio. Ici comme ailleurs la population est confrontée aux angoisses contre la pollution industrielle, aux dangers de la pollution agrochimique. Ici commence un combat contre une logique qui pourrait devenir irréversible, un combat pour que demain nos enfants ne nous accusent pas.
  • /10 Vous devez être connecté à votre compte pour coter ce film
    7.5/10 7 votes - 7 critiques
  • 5.0/10  Cote de DH.be du film Nos enfants nous accuseront

  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film Nos enfants nous accuseront

Avis des internautesdu film Nos enfants nous accuseront

Vous devez être connecté pour ajouter une critique Créez un compte
Publié le 29 avril 2009
Film opportunististe qui ne risque pas de convaincre, tant il manque de rigueur et est superficiel. Le bien et le mal sans nuance aucune. Il verse dans le pathos digne de certaines émissions des télés commerciales. C'est beau, les enfants sont mignons, petite maison dans la prairie quoi. C'est très mercantile, catastrophiste, pas du tout scientifique et ça ne fera en rien avancer le schmilblick.

Publié le 25 avril 2009
“c'est la 1ère génération de l’histoire moderne à être en moins bonne santé que ses parents” A l'UNESCO un colloque d’experts scientifiques tire la sonnette d’alarme sur les facteurs environnementaux qui influent notre santé. La progression fulgurante des cancers est directement liée aux pesticides et à l’alimentation industrielle. Un magnifique documentaire à la fois terrifiant, drôle, émouvant et porteur d'un formidable message... Oui, on peut se passer des pesticides. Ici et maintenant, nous pouvons choisir la vie en consommant autrement !

Publié le 23 avril 2009
Nos enfants Nous Accuseront : « Où le comptable passe, la vie trépasse ! » Morde à pleines dents dans une pomme, orchestrique gourmande d’une vie saine et équilibrée par excellence, un acte somme toute innocent et qui pourrait dans notre société « moderne » nous inviter pourtant insidieusement à prendre un « aller simple » pour un monde glabre et émacié : le cancer ! Les raisons ? Des produits de synthèse : pesticides, engrais chimiques, et j’en passe et pas forcément des meilleurs, utilisés régulièrement par d’apprentis sorciers (agriculteurs, pardon !) empoisonnant sciemment non seulement les sols et les aliments, mais hypothéquant gravement le capital santé des grands comme des petits. Il n’est pas rare que certains exploitants refusent de consommer leur propre production. Pas folle la guêpe ! « Les enfants d’aujourd’hui et de demain, seront en moins bonne santé que leurs parents », dixit d’éminents scientifiques. La prise de conscience est une chose… réagir en est une autre ! L’homme détruit aveuglément son environnement, scie inexorablement la branche sur laquelle il est assis. Après le climat (Une vérité qui dérange, d’Al Gore), voici l’alimentation qui défraye à son tour la chronique cinématographique avec un documentaire explicite et inquiétant. C’est tout un monde qu’il faudrait repenser, tout un système qu’il faudrait modifier. L’apologie du libéralisme absolu, cette course effrénée contre le temps, cette dévotion à la croissance (économique celle-là !) conduit petit à petit notre civilisation à sa perte. Oser faire marche arrière et recréer des poches légumières endémiques exemptes de saloperies artificielles, le tout sous l’égide bien sûr d’une population approbative. Consommer avec modération des produits de saison : on se fout d’avoir des tomates bravant l’hiver au goût de chiottes (flotte, lapsus !), ne plus subir le dictat abrutissant des publicitaires et de certaines institutions, suspendre les hostilités envers la nature et signer un pacte « vert » de non-agression universel. Respect et raison, le début d’une nouvelle ère ? Au diable les décideurs de l’ombre, les lobbies assassins qui ont à la place du cœur, un tiroir-caisse. L’abolition des frontières et la monnaie commune ? L’abolition des frontières, la création d’une Europe économique avant d’avoir tenté de poser les bases d’une Europe culturelle et sociale, autant d’aberrations qui creusent un peu plus chaque jour, un puits d’orgueil infiltré de suffisance, une fosse élitiste et sourde tutoyant l’irréversible : dichotomie de fait entre une existence anesthésiée par les addictions impératives du quotidien et la réalité de terrain. Jamais cette planète n’a été aussi incertaine : l’insécurité permanente dans les villes, les agressions répétées grignotant du terrain sur l’intransigeante trotteuse : on se fait voler ou poignarder en pleine après-midi. Brutalisé pour un morceau de plastique qui fait bip-bip ou bang-bang ! Terrorisme et cataclysmes se lovant, quant à eux, licitement dans le dictionnaire. Lorsque jadis on franchissait la lisière d’un pays, on posait un acte symbolique et militant, on allait vers l’autre, vers sa culture, partageait sa devise, on découvrait, s’enrichissait dans le bon sens du terme ! Jamais un Belge ne deviendra un Français ou un Allemand ; l’Italien, Espagnol ou Hollandais ! Les « Etats-Unis » du Vieux Continent ne sont pas les Etats-Unis d’Amérique : l’éclectisme des us et coutumes est beaucoup trop pesant, lourd de traditions et d’identité. L’écologie et les Ecolos ? L’écologie n’est plus une absurdité prêchée par quelques farfelus adeptes de la cigarette qui rend moins « con », de la tartine aux orties et de la cabane à mouches au fond du jardin, mais des gens tout à fait respectables dont les programmes électoraux, incontournables aujourd’hui, introniseront, tel un Messie, l’antidote rédempteur tant espéré. En tout cas, accordons-leur le bénéfice du doute, afin que les générations futures ne nous accusent pas !

Publié le 23 avril 2009
Tu me tiens, je te tiens par la barbichette ... Ni docu, ni réel film, ça n'apporte rien et lmaisse vraiment une grande faim qui n'est pas la fin ni le fin des fins. Passe-partout et machine à pognon tout simplement.

Publié le 18 avril 2009
Tout le monde devrait aller voir ce document. C'est indispensable pour se rendre compte à quel point nous sommes bernés par les politiques à tous les points de vue. J'ai appris beaucoup de choses et je me pose encore plus de questions. Comment faire bouger le monde...On ne peut rester indifférent à la stupidité et plus encore aux dangers que nous faisons courir aux générations futures.

Partager

Suivez Cinebel