Slumdog Millionaire

Origines:
  • Royaume-Uni
  • États-Unis
Genres:
  • Comédie dramatique
  • Romance
  • Crime
Public: Tout public
Année de production: 2009
Date de sortie: 14/01/2009
Durée: 2h00
Synopsis : Jamal Malik, 18 ans, orphelin vivant dans les taudis de Mumbai, est sur le point de remporter la somme colossale de 20millions de roupies lors de la version indienne de l’émission «Qui veut gagner des millions?». Il n’est plus qu’à une question de la victoire lorsque la police l’arrête sur un soupçon de tricherie. Sommé de justifier ses bonnes réponses, Jamal explique d’où lui viennent ses connaissances et raconte sa vie dans la rue, ses histoires de famille et même celle de cette fille dont il est tombé amoureux et qu’il a perdue. Mais comment ce jeune homme est-il parvenu en finale d’une émission de télévision? La réponse ne fait pas partie du jeu, mais elle est passionnante.
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    8.2/10 42 votes - 49 critiques
  • 7.5/10  Cote de lalibre.be du film Slumdog Millionaire

  • 7.5/10  Cote de DH.be du film Slumdog Millionaire

Actualités du film Slumdog Millionaire

Avis des internautesdu film Slumdog Millionaire

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Publié le 15 décembre 2009
En 1994, Danny Boyle réalise son premier long Shallow Grave, suivi deux ans plus tard par Trainspotting. En 2002, il s'essaie avec brio au fantastique horrifique avec 28 Days avant de se viander avec Sunshine, film de science-fiction sorti en 2006. Adapté du roman indien Les fabuleuses aventures d'un Indien malchanceux qui devient milliardaire de Vikas Swarup, Slumdog Millionaire a remporté quatre Golden Globes et huits oscars en 2009. Ce film marque également les débuts au cinéma pour les acteurs Dev Patel et Freida Pinto. Pour rassembler les foules, Danny Boyle a trouvé la recette miracle d'utiliser un jeu télévisé mondialement connu pour narrer cette enfance malheureuse. Malgré un déroulé du récit trop systématique, Slumdog Millionaire est simplement captivant aidé par une caméra nerveuse et un rythme soutenu. Cette chronique très colorée et populaire apporte de très belles émotions. Pour peu que le spectateur accepte d'être devant une fiction qui cherche avant tout à distraire avant d'évoquer une réalité sociale en Inde, il passera deux heures de réel plaisir gonflé de sentiments divers. Danny Boyle rébondit admirablement après un Sunshine de pâle figure pour offrir un des meilleurs divertissements et dépaysements de ces dernières années. Á Retenir : des chiottes mal canalisées, un orphelinat peu accueillant, un frangin pas très fraternel, visite guidée du Taj Mahal très personnalisée et un animateur pas très coopératif .

Publié le 30 juillet 2009
Slumdog millionnaire. De Danny Boyle. Divertissant petit film. Gagner tant d’oscars (8 ?) comme il l’a fait est par contre tout-à-fait surfait. Ce film utilise des procédés faciles pour émouvoir le « grand public » : un : filmer la misère sociale ; on ne voit plus que cela aujourd’hui. Deux, faire rêver : quoi de plus facile que de montrer un gagnant au Lot(t)o, à l’euromillions ou à qui veut gagner des millions. Le gagnant doit avoir souffert et être méritant. Ici il l’est puisqu’il pouvait « se débrouiller », et si un jour il lui arrive de tuer c’est pour tuer le chef de la mafia, une vraie racaille. Facile. Je ne crois pas non plus à ces histoires de petits miséreux (le frère de Malik) qui en vingt ans deviennent roi de la pègre (ou bras droit). Ces choses-là se font sur deux ou trois générations. Qu’on puisse tomber dans l’exploitation sexuelle sous la coupe d’autrui est malheureusement sans doute plus vraisemblable. Et dans la mendicité aussi. Mais l’illustrer par une pratique qui n’a sans doute été qu’exceptionnelle et remontant à loin dans le passé à savoir rendre intentionnellement le jeune petit chanteur mendiant aveugle parce que cela rapporte plus est d’une lourdeur pour susciter les émotions presque indigne d’un cinéaste. Sans doute est-il plus difficile de montrer la vraie petite misère omniprésente avec ses problèmes de bêtise, de santé, d’alimentation, de contrôle des naissances dans les pays émergents. Ou les problèmes liés aux assoiffés d’argent ou à la mafia qui s’empare(nt) des postes démocratiques de pouvoir dans les pays où il y a déjà la chance d’avoir une démocratie de façade. Voilà. Le procédé du flash back est extrêmement artificiel pour relater l’histoire. Et montrer les circonstances dans lesquelles Malik a appris les réponses de chaque question du jeu est à nouveau une fois tiré par les cheveux de manière incroyable. Tout comme le scénario de l’interrogatoire de police entre les deux jours d’enregistrement de l’émission pour savoir s’il n’a pas triché. Avec scéance de torture à l’électricité s’il vous plait pour une stupidité pareille. Enorme. Puis le thème de l’amour idéal qui enlève sa promise, amour interdit. Archi-classique. Au fond, je ne sais même plus comment se termine le film. Non je vous le dis, le film est gentil, se laisse voir, plaira aux adolescents, mais il est mineur et ne montre qu’un cliché de l’Inde. Comme une carte postale veillie avec des couleurs forcées. Ceci dit les acteurs étaient bons. Mais j’aimais mieux un film comme Shadows of time de Florian Gallenberger, passé trop dans l’ombre. Évaluation : 7/10. 20090730. Peu importe.

Publié le 26 juillet 2009
excellent film, je l'ai adoré!!! ça fait longtemps qu'un film ne m'a pas scotché sur ma chaise pendant 2 heures! ^^ je conseille à tous ceux qui l'ont aimé à regarder la version "commentaire du Danny Boyle", parce qu'on y trouve beaucoup de réponses dont les questions que les gens se posent. par exemple, pour la scène ou une mercedez a été dépouillée par les gamins, les gens pensent que cette scène montre que les indiens sont des sauvages et les américains sont généreux. Or si j'ai bien compris les commentaires de Danny Boyle, en fait aux états unis, les spectateurs n'ont pas vu cette scène sous le même angle! Selon eux, c'était plutôt comique, car cela caricature énormément les américains comme en étant des gens qui réglent tout, à coup de dollar sans se soucier du fond des problèmes lol et sinon on a l'explication de la scène finale, celle où il y a eu plus de polémique! ^^ lorsqu'on a posé la dernière question à Jamal, pour savoir qui est le troisième mosquetaire, Jamal ne connaissait pas la réponse et il a trouvé celle-ci sans hésitation. D'après les commentaires du réalisateurs, Jamal a donné une réponse au hasard et il est tombé juste car c'était écrit dans son destin qu'il retrouvera le troisième mosquetaire et c'est pour cela que le destin s'est arrangé pour qu'il tombe sur la bonne réponse... enfin bref, c'est trop bon ce film ^^

Publié le 12 avril 2009
Un vrai plaisir. Le bonheur d'avoir emmené mes fils, 15 et 13 ans, plutôt enclins à aller voir des cornichonneries marketées type "Knowing" ou "Fast and Furious" et de les voir vivre et partager le destin de Jamal, Latika, Salim et les autres. Boyle est un malin, il a construit sur base de ce livre tellement "bonne idée" un scénario et un découpage d'une efficacité impressionnante. On est dedans du début à la fin on espère on redoute on plaint on compatit on rit...bref on est au cinéma et on adore le film...jusqu'à son final bollywoodien que Boyle a l'intelligence et la retenue de cantonner au générique. Courez-y il y a pénurie de films malins et intelligents à la fois !

Publié le 4 avril 2009
Excellent film. J'ai été un peu déçue par rapport au livre, mais on ne s'ennuie pas une seconde et les acteurs sont formidables. Non, ce n'estpas trop dur, c'est l'Inde, la vraie avec ses horreurs et ses beautés.

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