La Fabrique des sentiments

Origine:
  • France
Genre:
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2007
Date de sortie: 20/02/2008
Durée: 1h54
Synopsis : Eloïse, 36 ans, est clerc de notaire et vit à Paris. Jeune femme belle et brillante, elle est cependant toujours célibataire. Pour briser sa solitude, elle décide de s'inscrire à des speed-dating. Après tout, ne s'agit-il pas là aussi d'être efficace et rapide ?

7 hommes, 7 femmes, 7 minutes pour séduire. Puis le gong retentit...
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    5.6/10 3 votes - 3 critiques
  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film La Fabrique des sentiments

  • 2.5/10  Cote de DH.be du film La Fabrique des sentiments

Avis des internautesdu film La Fabrique des sentiments

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  • 1
Publié le 3 mars 2008
Un des plus gros navets de ma vie de cinéphile. Aucune idée lumineuse, rien que du bavardage insipide et des lenteurs sans noms. Les personnages sont inconsistants, c'est de la psychologie tellement basique et ringarde que l'ennui devient sidérant.

Publié le 27 février 2008
J'ai adoré ce film ! Le film parle très justemment de notre époque et de la difficulté à nous rencontrer, à concilier carrière professionnelle et vie sentimentale. Le film ne cède pas à la facilité et les bons sentiments. Ce qui est tout en son honneur. Au final, il sonne très juste et dépasse de très loin toutes les productions héxagonales ou américaines qu'on nous sert à longueur d'année sur le même sujet. Le film est très bien écrit. Les dialogues, plein de cynisme et de sous entendus sont excellents. De plus, je me suis beaucoup retrouvé dans les personnages. Quant au rôle prinicipal, Elsa Zylbestein (qui n'a jamais été aussi belle), elle nous livre une fois de plus une excellente performance. Des formidables seconds rôles viennent aussi l'épauler. Mention spéciale au trop rare Jacques Bonnafé. J'avais adoré le premier film de Moutou "Violence des échange en milieu tempéré". Il confirme avec son deuxième. Autant dire que j'attends avec impatience le prochain ! Bref, courez-y !!!

Publié le 23 février 2008
Peu de choses à rajouter à ce que disent les chroniqueurs de la Libre et la DH. L'idée de départ présente beaucoup d'intérêt. Le démarrage promet, puis le propos s'égare en lenteurs, en langueurs, en rêves, et la fin ne convainc guère. Zylberstein étonnante dans les tensions de la femme moderne.
  • 1

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