Paris, je t'aime

Origine:
  • France
Genre:
  • Comédie dramatique
Année de production: 2006
Date de sortie: 23/08/2006
Durée: 2h00
Tout public
Synopsis : Au fil des quartiers, l'amour passager, voilé, mimé, vampirisé, malmené ou révélé. Paris réinventé par une pléiade de réalisateurs de renommée internationale. Une oeuvre collective autour de l'amour...
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    6.4/10 9 votes - 8 critiques
  • 2.5/10  Cote de DH.be du film Paris, je t'aime

  • 6.2/10  Cote de lalibre.be du film Paris, je t'aime

Posters du film Paris, je t'aime

Photos du film Paris, je t'aime

Avis des internautes du film Paris, je t'aime

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Publié le 31 décembre 2006
Idée lancée par les frères Carné et Emmanuel Benbihy, Paris, je t'aime imposait des règles strictes à ses réalisateurs : un court-métrage d'une durée de 5 minutes maximum et deux jours et deux nuits de tournage avec un budget réduit. La liste des réalisateurs est impressionnante dont Gus Van Sant, Bruno Podalydès, les frères Cohen, Walter Salles, Sylvain Chomet, Alfonso Cuaron, Olivier Assayas, Vincenzo Natali, Wes Craven et Alexander Payne. Paris, je t'aime est à l'image d'une visite touristique, où en fonction de ses affinités, chacun y trouvera son compte. Les seuls véritable points communs de ses 18 courts sont les contraintes techniques et Paris. Cette initiative permet de découvrir la ville sous un angle nouveau. Pour le reste, il est difficile d'y trouver une quelconque homogénéité dans l'enchaînement des différentes histoires. Pour ma part, je retiendrai le tolérant Quais de Seine de Gurinder Chadha, le jubilatoire Tuileries des frères Cohen, le social Loin du 16ème de Walter Salles, le cachotier Parc Monseau de Alfonso Cuaron, le grave Place des Fêtes de Olivier Schmitz, le vampirique Quartier de la Madeleine de Vincenzo Natali, le touchant Faubourg Saint-Denis de Tom Tykwer et le touristique 14ème arrondissement d'Alexander Payne. Paris, je t'aime est un pari audacieux à moitié réussi. Le projet a le mérite de remettre en avant le court-métrage trop souvent négligé par nos salles obscures. Heureusement aussi, quand cela ne plaît pas, cela ne dure que cinq minutes. Je pense que tout le monde pourra y trouver son compte en acceptant le fait de pas apprécier l'entièreté du projet. Il faut reconnaître également que certaines histoires nous plongent soit dans un mélo trop larmoyant soit dans une banalité désolante. Á Retenir : un projet novateur et audacieux, le court-métrage mis en avant, un Sylvain Chomet avec de vrais acteurs, un Wes Craven dans un genre nouveau et un manque d'homogénéité de l'ensemble.

Publié le 1 octobre 2006
Paris je t'aime alterne le très bon, le bon et le franchement moins bon, voire mauvais. Chacun trouvera au moins un court qui lui plaira. Celui avec Natalie Portman reste de loin mon préféré. Mais tant d'inégalité entre ces courts peut déranger.

Publié le 29 septembre 2006
Contempler Paris Je t’Aime, c’est comme recevoir un bouquet de 18 roses rouges. La rose parce qu’elle symbolise toutes les ramifications de l’amour. Le rouge parce qu’il est la couleur de la pudeur, mais aussi de la passion du courage et de l’ambition. Cette œuvre décline toutes ces nuances, par petites touches, pour former un ensemble fluide, fascinant à regarder et à savourer. Chaque séquence apporte son lot d’émotion… La grâce, un sourire, une larme contenue, un agacement, une excitation, un émerveillement… Toutes ces qualités qui font de Paris, une ville unique teintée de romantisme parfois galvaudé, résolument moderne et active et surtout, impressionnante dans la diversité de ces décors, de ses lieux magiques savoureusement ici mis en situation. Mais Paris Je t’Aime est surtout une pudique déclaration d’amour au cinéma de réalisateurs, d’acteurs, de techniciens, qui ensemble ont réussi un pari fou. Accomplir une invitation au voyage pour un spectateur médusé par ces éclats de vie tous empreints de charme, de simplicité, de sensibilité où l’amour sous toutes ses formes lie le cœur de chacun. On pourrait bien évidemment être tenté de faire un choix pour l’un ou l’autre des courts métrages... Mais ce serait porter atteinte à la féerie qui se dégage de cette œuvre omnibus. Toutefois, il est de coutume d’offrir un nombre impair de rose, et s’il fallait en ôter une de ce splendide bouquet, ce serait « Place des Victoires » pour son côté un peu trop mélodramatique et surjoué… Dans tous ses contrastes, Paris Je t’Aime nous porte à l’extase et certaines scènes hanteront longtemps notre mémoire cinéphilique.

Publié le 19 septembre 2006
Difficile de "côter" étant donné qu'il s'agit ici de 16 courts-métrages. Certains sont magnifiques et d'autres laissent à désirer. Assez inégal dans l'ensemble et peut-être un peu long, peut-être auraient-ils réduire en quantité pour augmenter la qualité.

Publié le 16 septembre 2006
2 ou 3 court-métrages divertissants sur les 16, mais dans l'ensemble tout le reste n'est vraiment pas terrible. A déconseiller donc. Surtout au Vendôme à Ixelles où on vous avertit à la caisse que l'image présente une ligne pendant 20 minutes. De qui se moque t'on ? Au mensonge ! C'est plutot pendant la totalité du film qu'il y a sans cesse plusieurs lignes grossières qui apparaissent à l'écran en permanence. De quoi bien perturber ... Tout ça sans même une réduction du prix de la place ! Rembourser !

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